vendredi 24 août 2012

zouk love


 
 
 
 
 

my french dream and my little song

my dream is not execptionnel I want to have you, my family close to me that they make me from time to time a bit of love I give them! some money was little more than the average in France! have a little time for my family but also help others! Nothing extraordinary so far! I want to be near my husband loves me for life!! have from time to time difficult moments, that cements our married life! especially and easily read the happiness on their faces ....

few words to my love I love you from the bottom of my heart





when the wind whips through your hair
and replaces your kiss my dark thoughts
As the sun begins to shine
like your love in my heart

let me abandon myself to thee!
as always let me die in your arms

When twilight open my eyes
and I feel against me
the most beautiful glow of your eyes
enlightened like lightning in my heart

and I'll let t give up against me
let me disappear in the hollow arms

and why why why
everything is finished
please consider why and why
I suppli ....

keep my love eternally
and our history engraved in gold and diamond
all jewelry shines
but you you're the most important!!


my love ..............






this little button type of song is my own hand tell me what you think, thank you in advance

prendre soin des autres


 
 
 

Prendre soin des autres, c’est prendre soin de soi

David Servan-Schreiber Professeur de psychiatrie clinique, David Servan-Schreiber a fondé et dirigé un centre de médecine complémentaire à l’université de Pittsburgh, aux Etats-Unis. Il est l’auteur de Guérir (Pocket, 2005) et Anticancer (Robert Laffont, 2007)

Lorsque, à l’âge de 15 ans, j’ai annoncé à mon père que je voulais faire médecine, il m’a envoyé voir son ami d’enfance, le professeur Jean-Louis Funck-Brentano. Derrière son imposant bureau de l’hôpital Necker, à Paris, cet homme incarnait la médecine elle-même. Eloquent, brillant, sévère parfois, mais toujours chaleureux. Comme s’il signifiait, par la douceur dans ses yeux, que la seule chose qui comptait vraiment, c’était de soulager la douleur de celui qui souffre… Après m’avoir interrogé sur mes motivations, après s’être plaint – avec dérision – de la médecine trop "institutionnelle", après m’avoir décrit des études "imbéciles", il a conclu notre entretien sur un sourire : « Tu vas voir, c’est le plus beau métier du monde ! » J’ai mis quinze ans à comprendre pourquoi il avait raison.
Après une interruption de cinq ans dans ma formation pour faire un doctorat en sciences cognitives, j’ai dû, à l’âge de 30 ans, refaire un stage comme interne. Le premier jour, j’ai pu prescrire un antidouleur à un homme atteint de cancer qui souffrait en silence depuis des semaines. Ce soir-là, son sourire – le premier depuis longtemps – m’a transporté plus que tous les succès académiques et les plaisirs intellectuels de mon doctorat. Les mots de Funck-Brentano ont alors résonné à nouveau en moi, et je les ai compris avec mon corps : en soignant les autres, on se soigne soi-même, en profondeur.
Spinoza, il y a plus de trois cents ans, l’avait déjà décrit : chaque fois que nous faisons du bien à un autre être, nous nous sentons mieux parce que notre physiologie s’en trouve renforcée (in Spinoza avait raison : le cerveau des émotions d’Antonio Damasio, Odile Jacob, 2003). Aujourd’hui, nous savons que notre cœur bat alors avec plus de cohérence, que nous sécrétons des endorphines (hormones de la connexion affective) et que notre système immunitaire est plus actif. Participer à des activités bénévoles pour assister les autres serait même une garantie de santé plus grande encore que réduire son taux de cholestérol ou arrêter de fumer (House, J. S., K. R. Landis, et al. 1988, “Science” 241 : 540-545) ! Cela s’appliquerait également aux soins que l’on porte aux animaux ou aux plantes. Dans le cadre d’une étude menée à Harvard (Rodin, J., Langer, E.J., 1977 - “Journal of Personality and Social Psychology” 35 : 897-902), les résidents d’une maison de retraite ont tous reçu une plante. La moitié d’entre eux devait s’en occuper eux-mêmes, tandis que le personnel assurait les soins pour les autres. Plus tard, on constata que les premiers avaient vécu deux fois plus longtemps.
Une amie, qui cuisine très bien, décrit parfaitement comment elle profite de son talent aussi pour elle-même : « Ce qu’il y a de formidable quand on aime faire la cuisine pour les autres, c’est que l’on en tire du plaisir avant, en pensant à ce que l’on va manger ensemble ; pendant, au moment où l’on en profite ; et après, en repensant à quel point c’était bien… » Comme elle, il n’est pas nécessaire d’être médecin. Nous pouvons tous nous faire du bien d’une façon ou d’une autre. Il suffit de trouver comment, et pour qui.

Lait contaminé à la mélamine


Nous nous souvenons tous du scandale du lait contaminé à la mélamine en 2008 qui avait éclaté en Chine. On a retrouvé du lait maternisé qui contenait une substance chimique hautement toxique : la mélamine. Rappelons que cette substance est destinée aux colles, résines et engrais. La mélamine est ajoutée pour donner au lait une apparence plus riche. Lors des contrôles elle simule un apport en protéines ce qui permet aux industriels de couper le lait avec de l’eau !
L’ingestion de la mélamine provoque des calculs rénaux et des saignements dans les urines. En 2008, 300 000 bébés ont été malades et six bébés sont morts après avoir bu du lait maternisé frelaté ! D’après Amnesty International 25 000 tonnes de lait en poudre auraient été saisies cette même année.
La blogosphère a décrié le manque de réactivité de la Chine qui aurait été au courant de la contamination bien avant que de réels problèmes surgissent. Il aura fallu attendre la mort d’un premier bébé pour que le scandale éclate. En effet, les autorités chinoises auraient été averties plusieurs semaines auparavant par le partenaire néo-zélandais du groupe Sanlu (une entreprise d’Etat) qui fournit les grandes surfaces partout dans le pays. Le Premier ministre néo-zélandais a accusé le gouvernement chinois de n’avoir rien fait.
Au lendemain des Jeux olympiques de Pékin en septembre 2008, vingt et une personnes ont été jugées pour leur implication dans ce scandale et deux personnes ont été exécutées.

Cet été (début juillet) le scandale du lait contaminé a resurgi !

76 tonnes de lait ont ainsi été saisies dans le nord-ouest de la Chine. Le taux de mélamine était, selon l’agence Chine nouvelle, 500 fois supérieur au niveau autorisé ! D’autres stocks contaminés ont été découverts dans le nord-est de la Chine (dont des bonbons au lait). D’après lemonde.fr « Les autorités sont (…) confrontés depuis deux ans à la gestion des lots contaminés, qui souvent ne peuvent pas être incinérés pour des raisons de coût ».
Les stocks de lait contaminés ont été « détruits » (en partie du moins comme nous le voyons) en Chine mais qu’en est-il des autres pays ou le lait frelaté a été exporté massivement ?
La France se veut rassurante avec ce problème. Jean-Loup Allain qui est le secrétaire du syndicat des aliments de l’enfance a réagi : « Tout d’abord, je voudrais préciser qu’aucun lait chinois n’entre dans la fabrication de produits français destinés aux enfants. (…) De toute façon, ce scénario chinois est impossible en France tant les contrôles sont importants. Il n’existe qu’un nombre limité de fournisseurs agréés « enfance ». Ces derniers sont audités et doivent respecter un cahier des charges pour obtenir ce label. L’un des moyens les plus efficaces utilisé pour repérer les fraudes (je ne sais pas si les Chinois y ont recours) est de contrôler la comptabilité des entreprises pour repérer l’achat de substances qui n’ont rien à faire dans les aliments pour bébé ».
Note :
La Chine vient également récemment de condamner à deux ans et demi de prison Zhao Lianhai, un militant chinois, pour « trouble à l’ordre public ». Il a mis en place un groupe de soutien pour les familles dont les bébés ont été victimes du lait contaminé. Ce groupe d’entraide permettait aux parents « de partager des informations sur les problèmes de santé de leurs enfants et d’échanger des conseils sur les poursuites à engager contre les entreprises impliquées » toujours selon Amnesty International. La directrice adjointe, Catherine Baber a déclaré « Nous sommes consternés d’apprendre que les autorités ont jeté en prison un homme que l’opinion publique chinoise considère, à juste titre, comme un protecteur des enfants et non comme un criminel ».

les causes du cancer

Les premières causes du cancer en France

Un grand rapport national réaffirme que les principales causes du cancer résident dans notre mode de vie (tabac, hormones, obésité, exposition professionnelle) bien plus que dans l'environnement.

 
 
 
VOILÀ un rapport sur les causes du cancer qui risque de faire grand bruit. Rendue publique aujourd'hui, cette étude met en cause avant tout des comportements individuels, plus que des pollutions environnementales, pour expliquer l'apparition d'un nombre notable de cancers. Ce rapport a été réalisé au terme de deux ans de travail par l'Académie de médecine, celle des Sciences, le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), en association avec la Fédération des centres de lutte contre le cancer, l'Institut de veille sanitaire et l'Institut national du cancer.
Tout en reconnaissant que l'on est encore loin de tout comprendre (voir encadré) et que des travaux de recherche restent plus que jamais nécessaires pour appréhender l'origine de tous les cancers, pour mieux les prévenir. Ce rapport dense apparaît entre autres comme une réponse extrêmement documentée aux personnes estimant que la pollution chimique est très largement sous-estimée dans l'origine des cancers.
Pour finaliser ce rapport réalisé sous la coprésidence du professeur Maurice Tubiana (Académie des sciences) et de Peter Boyle (CIRC), les meilleurs experts ont examiné toute la littérature épidémiologique sur le cancer en France (nombre de cas de cancers, risque relatif associé aux cancérigènes connus, importance de l'exposition de la population à ces toxiques...) et estiment finalement que dans 45 % des cas pour les hommes et dans 30 % des cas pour la femme, les causes des cancers sont identifiables.
D'abord, pourquoi le nombre de cancers augmente-t-il, avec 278 000 nouveaux cas et 150 000 décès en France en 2002 ? Est-ce en raison des multiples produits chimiques qui nous imprègnent ? Apparemment pas. « Le nombre de décès par cancer a considérablement augmenté en France comme dans tous les pays industrialisés depuis le début du XXe siècle, mais de telles comparaisons n'ont de sens que si l'on ramène cette fréquence à un même nombre d'habitants, or la population française a beaucoup augmenté au XXe siècle », relève le rapport, qui met en avant également l'augmentation de l'espérance de vie dans cette croissance des décès par cancer. En réalité, selon ce rapport, rapportés à la population et à son âge, les décès par cancer auraient diminué de 13 % depuis 1968. Par ailleurs, l'augmentation du nombre global de cancers depuis 1980 tiendrait à un perfectionnement des méthodes diagnostics et au dépistage, qui permettent de déceler des petits cancers qui auraient pu rester méconnus, au niveau du sein, de la prostate et de la thyroïde. Cela posé, quelles sont les causes connues du cancer ?

Tabac. Cela pourra décevoir ceux qui espèrent des révélations, mais l'ennemi numéro un reste le tabac, encore aujourd'hui responsable de 27 % des cancers chez l'homme et de 33 % des décès. Pour la femme, 9,6 % de la mortalité lui serait attribuable. La fumée du tabac contient de nombreuses substances génotoxiques ou irritantes responsables de cancers dans les tissus avec lesquels elles entrent en contact : la bouche, le pharynx, l'oesophage, l'estomac, le nez, le larynx, les bronches, le rein et la vessie.

Alcool. La consommation de boissons alcoolisées augmente les risques de cancer (bouche, foie, oesophage, côlon). Malgré la baisse de la consommation, ce toxique serait directement responsable de 11 % des cas de cancer chez l'homme et de 4,5 % chez la femme.

Agents infectieux. Plusieurs infections augmentent le risque de cancer. Tout particulièrement le papillomavirus, transmissible sexuellement, pour le cancer du col de l'utérus et celui de la gorge, et les virus des hépatites B et C pour les cancers du foie. De nombreux lymphomes sont liés au virus d'Epstein-Barr. Environ 4,2 % des cancers seraient liés à une de ces infections.

Toxiques professionnels. L'exposition à l'amiante, mais aussi aux poussières de bois, aux peintures, au benzène, aux huiles minérales, aux rayonnements ionisants, serait à l'origine de 4 % des cancers chez l'homme et 0,5 % chez la femme.

Obésité et absence d'exercice physique. Le surpoids et le manque d'activité sont considérés comme des facteurs à part entière de cancer. Ils augmentent le risque de cancer de l'oesophage, du côlon, du rein, de l'utérus et du sein et sont en cause dans 3 % des cancers de l'homme et 5 % de ceux de la femme.

Hormones de la ménopause, reproduction. Ces dernières années, plusieurs études ont mis en évidence de manière assez claire une augmentation du risque de cancer du sein due aux traitements hormonaux substitutifs de la ménopause. Ils seraient à l'origine de 2 % des décès par cancer. L'âge tardif du premier enfant, le faible nombre d'enfants ou encore l'absence d'allaitement sont des facteurs de risque de cancer du sein. Les auteurs estiment que l'on pourrait réduire de 15 % le nombre de cancers du sein en rajeunissant l'âge de la première naissance.

Pollution. « Contrairement à certaines allégations, estime le rapport, le nombre de cancers liés à la pollution est faible en France, de l'ordre de 0,5 %. Il pourrait atteindre 0,85 % si les effets de la pollution atmosphérique étaient confirmés. Les recherches doivent se poursuivre pour lutter contre la pollution, notamment atmosphérique, d'autant que celle-ci a par ailleurs des effets nocifs sur les systèmes respiratoire et cardio-vasculaire. »

L'alimentation. On considère que l'alimentation a une influence majeure sur le risque de cancer. Cependant, l'effet de facteurs nutritionnels (teneur en fibres, quantité de fruits et légumes...) n'a pas été confirmé par les dernières enquêtes épidémiologiques. La consommation de viande et de charcuterie n'augmenterait que modérément le risque de cancer du côlon. Cela ne remet pas en cause les conseils traditionnels, qui restent indispensables à la prévention cardio-vasculaire.
Selon les auteurs, en revanche, l'exposition aux pesticides, aux dioxines à faibles doses ou aux téléphones portables ne peut être considérée à ce jour comme un facteur favorisant le cancer.
Le tabac et l'alcool devraient jouer un rôle moindre dans le déclenchement de cancers, à cause de la baisse de leur consommation en France ; en revanche, l'obésité pourrait devenir un facteur plus important, si en la matière nos compatriotes continuent de suivre le mauvais exemple américain.

jeudi 23 août 2012

musique

iz over the rainbow
 
musique zen
 
 
musique de la foret
 
 
 
muse black out
 
 

vaccination

voici plusieurs reportages sur la vacination, je vous invite à les regarder mais faites vous votre propre avis c'est important...!on ne rigole pas avec la santé!!!